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Les défenseurs de la santé soutiennent la proposition du FMI d’une taxe uniforme sur les produits du tabac


Cette photo a été prise à Paris d’un homme fumant une cigarette. 8 octobre 2014. -Reuters

La proposition du Fonds monétaire international (FMI) visant à restructurer les taxes sur le tabac au Pakistan a reçu le soutien des militants de la santé.

Un militant a exhorté le gouvernement à passer à un système de taxation du tabac à un seul niveau tout en supprimant le deuxième niveau lors d’un événement intitulé “Favoriser la croissance économique grâce à des augmentations des taxes sur le tabac”.

La session interactive, organisée par la Société pour la protection des droits de l’enfant (SPARC), tenue à Islamabad avec le directeur national de la Campagne pour des enfants sans tabac (CTFK), Malik Imran Ahmed, a mis en évidence la cohérence du prêteur mondial entre les recommandations et les recommandations en cours. Discussions avec le Pakistan.

Lors de la conférence, cette décision stratégique a été considérée comme essentielle non seulement pour augmenter les revenus, mais aussi pour atténuer le fardeau des coûts de santé liés aux maladies liées au tabac.

Ces discussions visent à remédier aux faiblesses du pays en matière de viabilité budgétaire et extérieure tout en promouvant la reprise économique et une croissance inclusive. Un élément clé consiste à renforcer les finances publiques grâce à un assainissement budgétaire progressif, à l’élargissement du réseau fiscal et à l’amélioration de l’administration fiscale pour accroître la viabilité de la dette.

Ahmed a souligné le besoin urgent de lier ces objectifs aux taxes sur le tabac et a souligné la nécessité de réformer le système de taxation des cigarettes au Pakistan.

Il a en outre souligné que la revitalisation du système de taxation des cigarettes au Pakistan va au-delà des considérations purement fiscales. Il a ajouté qu’il s’agit d’un problème urgent de santé publique.

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Malgré une taxation importante sur les cigarettes, Ahmed a déploré que les revenus générés ne soient pas suffisants pour couvrir les frais médicaux liés aux maladies liées au tabagisme.

Au cours de l’exercice 2022-23, les impôts ne représenteront que 16 % de ces dépenses, en baisse significative par rapport aux 19,5 % de 2019.

Le directeur du programme SPARC, le Dr Khalil Ahmad Dogar, a souligné les niveaux alarmants de consommation de tabac dans le pays. Avec environ 31,9 millions d’adultes âgés de 15 ans et plus qui fument actuellement, soit près de 19,7 % de la population adulte, les conséquences désastreuses de la consommation de tabac s’étendent bien au-delà de la santé personnelle.

Le Dr Khalil a réitéré que plus de 160 000 personnes meurent chaque année de maladies liées au tabagisme, ce qui équivaut à 1,6 % du PIB annuel du pays.

Il a souligné la nécessité urgente d’une action immédiate pour combler l’écart entre les recettes fiscales sur le tabac et les coûts des soins de santé, et a préconisé un système de taxation du tabac à un seul niveau, comme le recommande le Fonds monétaire international, qui non seulement augmenterait les recettes mais soulagerait également la pression. Fardeaux sanitaires et économiques associés à la consommation de tabac.



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